
La corruption c’est aussi l'utilisation abusive d'un pouvoir reçu par délégation à des fins privées comme l'enrichissement personnel ou d'un tiers (famille, ami...). Elle consiste, pour un agent public, un élu, un médecin, un arbitre sportif, un salarié d'entreprise privée..., de s'abstenir de faire, de faire, de faciliter quelque chose, du fait de sa fonction, en échange d'une promesse, d'un cadeau, d'une somme d'argent, …il faut aussi distinguer les deux formes de corruptions ,l’une est active (le corrompu) et l’autre est active (le corrupteur).
L’évolution de ses deux facteurs de sous développement s’observe surtout au niveau de l’appareil de l’Etat (dans les administrations, entreprises publique, ..) et au niveau du secteur privé ou cela est de plus en plus inquiétant pour la jeunesse africaine. Ceux sont des agents de l’Etat dans l’exercice d’un service public qui favorisent très souvent cette corruption qui entraine la mauvaise gouvernance. Et ces deux fléaux prennent de plus en plus de l’ampleur en Afrique car les autorités étant impliquées aussi engagent peut d’action pour lutter contre cela. Et plus grave c’est que même certains secteurs sensibles comme la justice sont atteint .Le coupable est celui qui circule librement et l’innocent est celui qui est en prison, le voleur de poule passe sa vie en prison et le ministre ou président voleur des biens du peuple et qui a trahis la nation fini sa vie dans son château .Ces deux facteurs sont pour l’essentiel responsable des inégalités, des injustices et des frustrations de nos populations.il évoluent comme une maladie qui gagne tout le corps d’un malade, plus on ne fait rien plus ces maux tuent la société africaine ,de tel sorte chacun se dit contrains de corrompre pour aussi avoir satisfaction .Les policiers dans la circulation ne veillent plus a la sécurité des usagers mais a la sécurité de leur poches, les commerçants préfèrent mettre les sous dans la poche du douanier que dans les caisses de l’Etat ,pour une simple signature il faut débourser beaucoup d’argent,…et face a tous cela le pauvre qui n’a même pas de quoi corrompre se résume a son triste sort car les conséquences se font toujours ressenties dans l’économie générale de l’Etat qui manque de fonds pour lutter contre la pauvreté du fait de ces mauvaises pratiques.
Pour remédier d’abord à la mauvaise gouvernance le peuple doit apprendre à sanctionner ses leaders politiques par « un vote sanction »,le peuple doit sortir manifester contre toutes les politiques politiciennes menées par les gouvernements .Il faudrait qu’ils sentent une menace pour changer les choses, on doit se doter d’un mécanisme de contrôle de l’action gouvernementale autre que celui du parlement car au parlement c’est toujours la même majorité entre gouvernement et l’Assemblée nationale et de ce fait les élus d’un même parti politique ne sanctionneront jamais leurs camarades au gouvernement, c’est qu’on appel souvent la dictature des partis politiques qui sont les vrais acteurs de la mauvaise gouvernance.il faudrait aussi que le peuple exige de ses autorités un code de bonne gouvernance contrôler par les acteurs de la société civil ,par des associations autonomes et des institutions internationales. Ensuite pour lutter contre la corruption ,au niveau des autorités il faut renforcer les mesures de sanction contre le corrompu et le corrupteur, donner les moyens matériels et financiers nécessaires aux agent du pouvoir exécutif ,législatif, et judiciaire de tel sorte qu’ils ne soit pas corruptibles pour de l’argent ,sensibiliser les populations sur ces mauvaises pratiques qui nuisent a la société, mettre en place un mécanisme de dénonciation de tous cas de corruption ou tentative de corruption. Et au niveau des populations africaines c’est de ne plus s’adonner a cette pratique ,c’est suivre et dénoncer a son niveau les cas de corruptions, que chaque jeune en discute avec ses amis, que chaque père de famille en discute aussi avec sa famille ,que chaque chef de tribu, province,…en discute avec ses populations ,de cette façon l’on pourra en fin éradiquer ce fléaux et cela dans l’intérêt de toutes les populations africaines.