Grande nation africaine avec une l’histoire glorieuse ,le
Mali est aujourd’hui dans une situation
difficile qui porte à croire qu’il s’agit bien du démantèlement de l’État. Tout
comme la Somalie ,le Mali est victime des politiques politiciennes des puissances
impérialistes mais aussi et surtout de l’immaturité politique de ses
populations ,car on le dit souvent le mal de l’Afrique c’est d’abord les
africains eux-mêmes.
Ce démantèlement a commencé depuis l’attaque de Ménaka le
17 janvier et Aguelhok et Tessalit le 18 Janvier par les rebelles Touaregs du
MNLA(mouvement de la libération de l’Azawad).Les négociations des autorités
maliennes, les offensives de l’armée malienne ,et les tentatives de négociation
des pays voisins comme l’Algérie ,ne donnèrent rien au contraire la nation
malienne a continué tout droit vers une partition avec une occupation total du
nord-mali par les rebelles et les islamistes d’Ansar Dine ,avec plus tard le 6
Avril la proclamation de l’indépendance de l’Azawad par le MNLA. Il faut
cependant souligner cette indépendance et le démentiellement de l’État malien
ont été accélérés par le coup d’État du capitaine Sanago contre Amadou Toumani
Touré qui avait du mal à gérer cette crise.
C’est avec l’arrivée au pouvoir de la junte militaire que la
CDEAO avec à sa tête Ouattara un président lui aussi arrivé au pouvoir après
un bain de sang ,va prendre position pour exiger le rétablissement de l’ordre
constitutionnel au risque d’infliger un embargo au Mali, embargo qui sera
effectif et obligera la junte à faire des concessions en demandait cette fois
si l’envoie des troupes de la CDEAO pour rétablir l’intégrité territoriale du
nord. Un accord cadre sera signé le 6 Avril entre la CDEAO et la junte, accord qui
permettra la levée de l’embargo .Le 12 Avril comme le prévoyait l’accord de wagadougou
Dincounda Traoré deviendra président intérimaire pour une période de 40 jours ,il
nomma un premier ministre de transition le célèbre Cheik Modibo Diarra. Après
ces évènement la junte continua d’avoir un contrôle effectif sur le pouvoir ,
ce qui va suscité le 30 Avril une tentative de contrecoup d’État.
Après la fin de la transition la
crise malienne n’a toujours pas de solution, au contraire elle s’est même
empirée parce que le nord reste toujours occupé par les rebelles et les
islamistes de toutes les nationalités confondu rendant la vie impossible aux
populations ,à Bamako on ne sait plus qui gouverne, qui décide de quoi ,le
capitaine Sanago reste toujours affiché au lieu de rejoindre les casernes ou
aller reprendre le nord .Il a fallu le lundi 21 pour qu’un accord entre la
junte et la CDEAO intervienne à nouveau pour permettre le prolongement de la
transition de Dinkounda de un an ,et le capitaine tira de passage son épingle du
jeu on arrachant le statut d’ancien chef d’État avec tous les avantages comme
si en prenant le pouvoir il a apporté quelque chose de grand au malien, un
statut d’ancien chef d’État ça se mérite mon capitaine .La CDEAO venait en fait
de choisir un président aux maliens ce qui va faire des mécontents surtout dans
le rang des alliés de la junte avec notamment l’agression du président
intérimaire dans son palais en le blessant grièvement et en proposant le
capitaine Sanago comme président de la transition.
D’après tous ces évènements on peut
sans de se tromper dire qu’il s’agit bien du démantèlement de l’État malien
car aucuns des acteurs en cause n’agit véritablement pour la cause malienne .Les
intérêts individuels sont mis en avant et la question essentielle de l’intégrité
du territoire malien n’est même plus d’actualité. Les maliens sont aux yeux de tout
le monde car ils restent désunis, et faible face à cette situation .Il faudrait
que chaque malienne et malien puissent se rappeler de l’histoire du Mali qui
est une histoire glorieuse ,le Mali ne mérité pas ce qui lui arrive aujourd’hui
,il faut un dépassement de soi pour s’assoir et discuter car aujourd’hui la
meilleur voie de sortie de crise reste le dialogue ,un dialogue uniquement
entre les maliens pour sauver ce qui reste de leur dignité ,de leur patrie et
de leur honneur.
Il n'y a absolument aucun doute que l'islam est détruit lentement l'Afrique.
RépondreSupprimerCe dogme culte de la mort politique est une abomination pour le monde entier, mais il est en Afrique où il finira par mourir.
Quand l'Afrique se lève à nouveau et botte le cul de l'islam, il montrera la vraie spiritualité, la culture et le pouvoir -, alors il va s'épanouir et donner naissance à une nouvelle démocratie qui englobera le monde.
L'Islam est pur esclavage mental - nous utiliser la logique et la vérité avec laquelle il à la pierre à la mort.
Mais vous parler de quoi meme?sortez clairement pour dire ce que vous pensez de l'islam,une religion qui a toujours été une religion de paix,et celle que tous les messagers on prônés.Ne vous fiyez pas aux interprétations faites par les médiats qui n'agissent que pour détruire l'islam,le vrai islam existe et il y a aussi un faut,faite des recherches et vous allez découvrir que de bonnes choses dans cette religion.
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